Carolyn Hax : Deux mois après le mariage, sa belle-famille fait pression pour avoir des petits-enfants

Adapté d’une discussion en ligne.

Chère Caroline : Je suis marié depuis moins de deux mois, et mes beaux-parents sont déjà en train de renifler, se demandant quand il y aura un petit-enfant. Nous prévoyons de commencer à essayer bientôt, mais pas immédiatement, pour des raisons qui ne les regardent pas. Je ne veux pas être un rabat-joie total ou partir du mauvais pied avec eux. puis-je établir des limites autour de cela, et ne pas avoir l’impression d’être juste un vaisseau ambulant pour leur petit-fils espéré ?

— Pressé de procréer

Pressé de procréer : Je ne sais pas, je serais plus enclin à m’abandonner au sentiment et à accepter le fait qu’ils me voient comme un petit-fils. Aller avec le courant est toujours plus facile. De plus, cela ne dit rien sur vous et votre valeur en tant qu’humain ; c’est à 100% une déclaration sur leur myopie. Ils ont perdu leur les esprits perspective et vous pouvez les anticiper/les plaindre/les pardonner en conséquence.

Et bon, au moins ils ne sont pas si hostiles à votre présence dans leur famille qu’ils sont anti-petits-enfants ! Je sais que les ismes qui pourraient être pires aident rarement, mais celui-ci est suffisamment pire pour mériter une mention.

En ce qui concerne les limites, leur lobbying inapproprié vous offre de belles opportunités pour la combinaison un-deux de commentaires directs mais aimables et de répétitions pointues.

1 : « Je comprends que vous vous intéressez aux petits-enfants, mais je vous serais reconnaissant d’avoir un peu d’intimité. Merci beaucoup. »

2 à l’infini : Tout ce que vous voulez dire, tant que ce n’est pas méchant et tant que vous le répétez textuellement. Par exemple, « Pas de nouvelles, pas de nouvelles. » Ou, « Vous savez ce que je ressens à ce sujet. » Ou, « Bénissez votre cœur. » Ou, [gentle pat-pat to in-law’s arm, smile, change subject/leave room]. Ou, « [Husband], c’est pour vous. » Ou, « Rappelez-vous, pas de conversation sur l’utérus. » Tout ce que vous vous voyez dire. À plusieurs reprises, pour créer le mur de briques, ils peuvent éventuellement remarquer qu’ils ne passent pas.

Re : Navire : Un ancien collègue a proposé (je pensais) une solution très astucieuse. Après un nombre ennuyeux de demandes de renseignements, elle et son conjoint ont dit une fois à la belle-famille : « Nous espérons et prévoyons d’avoir des enfants dans trois ans environ. Nous vous informons pour que vous n’ayez plus à demander. Chaque fois que vous le ferez, nous le repousserons d’un mois.

Anonyme: Ça a de l’énergie de justicier, merci.

L’avis d’autres lecteurs :

· Lorsque mon mari et moi nous sommes fiancés, ma belle-mère a organisé une fête de famille où, dans la bénédiction qu’elle a donnée avant de manger, elle a béni mon ventre. Vaisseau à pied, en effet.

· Lors de ma réception de mariage, ma nouvelle belle-sœur a posé ses mains sur mon ventre, au-dessus de mon utérus, et a commencé à prier dessus. Notre relation ne s’est pas améliorée.

Chère Caroline : aider un conjoint souffrant de dépression ? Cela se traduit par de la colère, et il a du mal à comprendre et à écouter nos enfants neurodivergents. Je veux l’aider, mais je ne veux pas non plus qu’il leur crie dessus.

Conjoint: Insistez pour un traitement médical formel de la dépression, ainsi que des conseils. Non négociable. Je suis désolé. Vous devez protéger ces enfants.

J’exhorte également à vous conseiller avec un thérapeute qui travaille avec les enfants et les familles, et avec la neurodivergence, afin que vous puissiez éventuellement amener des membres de votre famille aux séances avec vous. Si l’argent et l’accès sont un problème, recherchez un soutien parental en ligne adapté aux diagnostics de vos enfants. Enfants et adultes atteints d’un trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (chadd.org), par exemple, offre une assistance liée au TDAH. La frustration seule peut séparer les familles, donc comprendre et anticiper les comportements est utile non seulement pour y répondre de manière productive, mais aussi pour garder les familles (et leur santé mentale) intactes.