O ONE en Grande-Bretagne n’a pas été affecté par Covid et les restrictions qui ont suivi la pandémie. Nous avons tous un intérêt et un intérêt dans l’issue de l’enquête qui commence aujourd’hui sur la gestion de la pandémie sous l’égide de la baronne Hallett. La portée de l’enquête est énorme : comme elle le dit, son rôle principal est « de déterminer si [the] niveau de perte », au sens le plus large du terme, « était inévitable ou si les choses auraient pu être mieux faites ». En d’autres termes, presque tout ce qui s’est passé entre février 2020 et mi-2021 relève de sa compétence.
C’est une entreprise formidable et il sera impossible que l’enquête satisfasse tout le monde, mais elle doit être faite si nous voulons tirer les leçons du Covid. La première étape portera sur le niveau de préparation à l’épidémie et cela apportera de précieux enseignements. D’autres modules aborderont la politique gouvernementale et des questions telles que le NHS.
Il serait facile que la procédure s’éternise, mais heureusement la baronne Hallett est bien consciente du danger ; elle souhaite rendre des jugements provisoires d’ici l’année prochaine et que les audiences se terminent dans trois ans. Bien sûr, il y aura des preuves ignorées et des experts qui ne seront pas consultés, mais ce qui est formidable, c’est que nous devrions avoir les résultats de l’enquête le plus tôt possible.
Nous avons besoin d’un audit de ce qui a été bien et mal fait. De nombreuses décisions politiques destinées au mieux ont eu des conséquences imprévues; les élèves qui passent leurs examens publics doivent encore faire face aux effets des fermetures d’écoles ; il existe encore des arguments valables sur les coûts et les avantages des confinements. Ce qui est important, c’est que l’enquête puisse aborder toutes ces questions avec un esprit ouvert, sans aucun élément hors limites.
L’enquête pourrait bien avoir un effet cathartique sur le pays, nous permettant de faire face à ce qui était un traumatisme national et mondial. La baronne Hallett doit être saluée pour avoir entrepris cette immense tâche – nous lui souhaitons bonne chance.
Dommage Nadine
NADINE Dorries, l’ancienne secrétaire à la culture, a déclaré dans une interview à TalkTV que la raison pour laquelle elle ne se dirigeait pas vers la Chambre des Lords de la liste des honneurs de démission de Boris Johnson est que « cette histoire parle d’une fille de Liverpool… qui avait quelque chose qui lui a été offerte… enlevée par deux garçons chics privilégiés ». L’un est le premier ministre.
C’est injuste, bien que Dorries ait la forme dans les attaques contre les riches conservateurs. La raison pour laquelle sa pairie a été refusée était qu’elle était députée en exercice et qu’il n’est pas possible d’accorder aux députés une pairie différée. Elle a peut-être le « cœur brisé », mais la réalité est qu’une pairie n’est pas une récompense automatique pour la loyauté des ex-politiciens. Dommage.
Les bonus TfL… vraiment ?
La nouvelle selon laquelle les patrons de Transport for London pourraient recevoir de grosses primes ne devrait pas enchanter les passagers, dont la lutte contre le coût de la vie n’est pas facilitée par les tarifs élevés et dont le trajet est souvent en proie à des trains en retard. Les dirigeants de TfL sont déjà bien payés, ont-ils vraiment besoin de primes alléchantes à un moment comme celui-ci ? Non.