Si les tracas liés à l’enregistrement, à la sécurité et aux retards potentiels ne suffisent pas à gâcher une expérience de vol, les passagers aériens sur certaines routes sont plus susceptibles que d’autres de rencontrer des turbulences sur leurs vols. Un nouveau rapport révèle les itinéraires les plus cahoteux, alors attachez votre ceinture et voyez si votre prochain vol figure sur la liste.
Outil de voyage Turbli, qui prévoit les turbulences, a analysé les niveaux de turbulences historiques de 150 000 routes aériennes pour voir lesquelles sont les plus susceptibles de connaître une course folle. Les routes se sont vu attribuer un taux de dissipation turbulent, indiquant le niveau de turbulence. Les niveaux de turbulence sont définis comme légers (0-20), modérés (20-40), sévères (40-80) et extrêmes (80-100).
Tout d’abord, qu’est-ce que la turbulence ? La FAA définit la turbulence comme « mouvement d’air créé par la pression atmosphérique, les courants-jets, l’air autour des montagnes, les fronts météorologiques froids ou chauds ou les orages. Cela peut être inattendu et se produire lorsque le ciel semble clair.
L’analyse de Turbli a déterminé que la route la plus turbulente aux États-Unis est celle de Nashville à Raleigh/Durham. Les passagers voyageant entre ces deux villes sont plus susceptibles de connaître un trajet cahoteux. Les neuf autres routes parmi les 10 présentant les taux de turbulences les plus élevés sont Charlotte à Pittsburgh, Denver à Puerto Vallarta, New York à Raleigh/Durham, Warwick à Syracuse, Atlanta à Dulles, Pittsburgh à Raleigh/Durham, New York à Portland ( Maine), de Boston à Syracuse et de Boston à Philadelphie.
Retrouvez le rapport complet, qui comprend également les routes internationales, ici.