Carolyn Hax : Un futur parent ne veut pas perdre des amis sans enfants

Chère Carolyne : Mon premier enfant arrive le mois prochain. Mes amis proches n’ont pas d’enfants. puis-je éviter de devenir l’un de ces parents sans enfants dont se plaignent les gens, qui n’ont soudainement plus le temps ni l’intérêt d’entretenir une amitié qui ne tourne pas autour de leurs enfants ?

Attendant: 1. Félicitations !

2. Trouvez une bonne gardienne et voyez vos amis sans que votre enfant soit toujours à vos côtés (sauf si cela est nécessaire).

Un petit enfant a besoin d’attention. Axiomatique. Demander à vos amis de vous accorder leur attention sociale alors que votre attention (réellement ou conversationnellement) est entièrement tournée vers votre enfant n’est pas juste, à moins qu’ils ne vous encouragent à le faire.

3. Ne pas critiquer les personnes sans enfants aide vraiment.

Il y a bien d’autres choses que vous pouvez faire en marge, mais ces deux-là sont les plus importantes.

· Mes amis et moi avons un accord tacite : je montre (ou feins, si besoin est) de l’intérêt pour leurs problèmes liés aux enfants, ils feignent de s’intéresser à mes problèmes non liés aux enfants, même si je suis sûr qu’ils semblent insignifiants. comparaison. Je respecte le fait que leur rôle de parent exige de moi une flexibilité supplémentaire, et ils respectent mon manque d’intérêt à être parent. Voyez si vous pouvez parvenir à un arrangement oral ou tacite similaire avec vos amis.

Chère Carolyne : Mon fils de 14 ans a soudainement, il y a quelques mois, des manières épouvantables à table. Penchés sur leur assiette, pelletant, mâchant d’énormes bouchées de nourriture, un genou posé sur la table. Ils disent que « tous » les enfants qu’ils connaissent mangent comme ça et mes règles sont idiotes.

Je ne m’attends pas à un environnement gastronomique à la maison, mais regarder mon enfant manger en ce moment est dégoûtant, et je frémis à l’idée qu’il doit manger chez d’autres personnes. Mes autres enfants utilisent également l’exemple de leur frère aîné comme excuse pour avoir de mauvaises manières. Je demande poliment une seule fois, peut-être à la moitié de nos repas, qu’ils s’assoient ou prennent de plus petites bouchées, mais mon enfant redevient sauvage. Mon seul recours est-il simplement d’espérer qu’ils s’en sortent ?

Je frissonne: Un peu oui, selon l’appétit de défi de votre enfant (ou de vos enfants). Le système que j’utilise pour choisir les collines sur lesquelles je veux mourir : puis-je gagner ? Vais-je regretter celui-ci lorsque j’en aurai de plus gros à tenir plus tard ? Est-ce que quelque chose ou quelqu’un d’autre – ou ma modélisation cohérente – résoudra ce problème pour moi ?

J’apprécie particulièrement ce dernier lorsqu’il s’agit de manger grossièrement ; J’imagine un dîner ou un autre repas destiné à impressionner, et je prévois que les manières se rétablissent à ce que nous leur avons appris avec un « claquement » audible. Même si je me fais peut-être des illusions.

Re : Les bonnes manières à table : Je parie que l’enfant affiche des manières parfaites chez ses amis. Je parie !

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Anonyme: C’est l’espoir auquel nous nous accrochons tous. Pensées d’autres lecteurs :

· Ayant moi-même deux adolescents, je me moquais du gamin qui avait soudainement développé de mauvaises manières à table à 14 ans et je disais quelque chose comme : « Vos rendez-vous vont adorer ça. Dites-leur de m’envoyer des photos du restaurant », mais je n’irais pas plus loin. Je suis d’accord que c’est probablement juste une question de défi, mais leurs amis s’en occuperont probablement.

· Ils savent ce que sont les bonnes manières à table, si vous avez fait votre travail il y a des années, donc il s’agit simplement de tirer à la chaîne. Roulez les yeux et accordez-lui un peu d’attention, et ça disparaîtra.

· Quiconque est capable de se conformer à des manières décentes à table, mais n’est pas disposé à le faire, fait preuve d’un manque de respect absolu envers les autres convives. C’est particulièrement flagrant lorsque ces autres convives sont les parents. Je ne tolérerais ni ne cultiverais cet état d’esprit pendant une nanoseconde.